Tinou

Depuis 1 semaine, le beau temps et la chaleur se sont invités dans le nord de la France et particulièrement sur Lille. Il n’en fallait pas plus pour se lancer dans l’aventure du « premier barbecue de l’année ».

Bon perso, ce n’était pas mon premier barbecue mais c’était bien le premier que j’organisais ! Et je peux déjà vous assurez que ça ne sera pas le dernier à la vue du calendrier qui arrive (vivement début et fin mai !)

Un camembert, un bon rosé, des chipo & brochettes et roulez jeunesse ! Il ne manque que le petit comité avec mes fans les plus inconditionnels du moment : Gromit & Carole. Ce petit mélange offre un petit goût de bonheur et de sympathie qui laisse présager le meilleur pour la suite.

Un repas fortement orienté « provence à la nordique » (entendez par là un repas style barbecue de provence mais avec manteau et limite les mouffles :)) qui s’est terminé sur un dessert de fraises ! Du bonheur j’vous dis !

La Panne, contrairement à ce que certains pourraient croire, est une station balnéaire belge située à la frontière.

Ce dimanche (comme tous les dimanches dans le Nord, ahum…) était une journée ensoleillée et plutôt chaude pour un mois d’Avril : 25°C et pas un nuage ! Du coup, ni une ni deux, l’idée d’un tour en moto s’est imposée. Il ne restait plus que le lieu : La Panne.

1h de trajet et 1 contrôle de police plus tard, nous voila sur la digue. C’est d’ailleurs là que mes 2 fans de l’après midi posent pour la photo.
Petite ballade sympa sur le bord de plage et nous marchons tranquillement vers le centre pour rejoindre un café où, de mémoire, les dames noires étaient plutôt bonnes. Bingo, c’est toujours le cas et je n’ai eu le reflexe photo qu’après l’avoir déjà bien entamée… Désolé ;-)

Seul petit désagrément, la température en bord de mer ! Il faisait bien 25° sur Lille mais on est vite descendu sous les 20°C à l’arrivée sachant que la fraicheur se faisait sentir dès la descente du soleil. Par contre, la situation s’est inversée au retour avec une bonne montée de température au fur et à mesure qu’on s’avancait dans les terres.

Bref, tout ça pour dire que c’était quand même bien sympa comme ballade en moto et qu’un jour, vous frissonnerez tous de savoir votre star favorite sur sa propre moto en train de sillonner les routes !

Je remercie d’ailleurs mon grand fan Gromit pour m’avoir transporté une fois de plus sur ce merveilleux moyen de locomotion qui fait gagner un temps fou sur des routes un peu trop encombrées (et qui procure quelques sensations lors de pointes de vitesse :)).

Votre star favorite est comme tout le monde et n’aime pas spécialement s’en prendre plein la tronche. Bon ok, jamais personne ne m’en a vraiment mis plein, du moins pas au point de m’énerver… Mais il n’empêche que parfois, le geste mérite vengeance !

Bizarrement, ce mot « chichi » est souvent synonyme de vengeance. Chichi c’est un mot dont la provenance m’échappe mais dont le sens est bel et bien « saloperie ».
On peut distinguer 2 types de chichi :

• Chichi humain : consiste purement et simplement d’empêcher une personne de dormir. Il faut bien s’y mettre à 3 pour réaliser cette prouesse car la « victime » n’est pas en droit de dormir et tous les moyens sont bons. Le malin plaisir peut venir du faire de le laisser s’endormir 5 minutes et de le réveiller juste à ce moment là. Vous comprendrez aisément le fait qu’être 3 est un minimum… pour se relayer !
• Chichi voiture : très basique, il consiste à prendre des rouleaux de PQ, de la farine et autre et de repeindre la voiture de la victime. Pour être précis, sachez que 12 rouleaux de PQ, 2 kg de farine et 6 litres d’eau sont nécessaire ! Je vous déconseille les oeufs qui attaquent la carrosserie ainsi que la margarine et vaseline sur les plastiques (poignets de portes etc).

Pourquoi je vous parle de tout ça ? Simplement parce que suite à un acte que je qualifierai d’ignoble, j’ai dû entreprendre une vengeance. L’idée du chichi s’est imposée d’elle même. La preuve en image !

Encore désolé Anne So. de t’avoir fait ça. Sache que j’ai évité la farine parce que je ne suis pas un salaud fini… Je n’ai utilisé que 5 rouleaux de PQ pour ne pas passer pour le gros méchant que je ne suis pas. 

Et sachez tous que je l’ai aidé à nettoyer sa voiture ! J’assume quand même mes actes et respecte un minimum les gens !

Il y a quelques années, nous avons vu fleurir des pubs relatant la pro-activité de certains produits de consommation. Dès lors, nous avons considéré ça comme une révolution… « de l’huile pro-active ?! ca veut dire que plus on en utilise et plus c’est bénéfique ? » J’avoue que c’est un peu gros mais on est pas loin de ce qu’on aurait pu penser à l’époque.

Et bien depuis une bonne grosse année, le terme à littéralement changé de secteur pour être utilisé par le monde du travail. Ça prête à rire… J’entends encore mon manager me dire « Surtout, soit pro-actif ! » ou bien « La pro-activité, c’est la base d’un travail accomplie !« .
En gros je traduis ca bêtement par « Bosse mon gars et fait rentrer de l’argent sinon tu peux toujours courir pour une augmentation« .

Maintenant, selon Wikipédia,

La pro-activité est souvent employée de façon impropre comme synonyme de l’adjectif « actif ».

La définition que j’admire le plus est surement celle du site Developpez.com qui colle plutôt pas mal à ma boite :

Proactif est un buzzword utilisé par certains recruteurs de cadres (notamment en informatique) pour sa connotation positive, et ce à cause de l’association de pro, qui évoque le mot « professionnel » et de actif, qualité recherchée chez les cadres.
Même si aucune étude statistique n’a été réalisée sur le sujet, on peut raisonnablement penser qu’environ 90% des personnes ayant recours au terme « proactif » (commerciaux, recruteurs…) n’en connaissent pas le sens et l’utilisent dans le seul but de masquer l’indigence de leurs propos.

En attendant, Xerox s’empare du filon et nous pond une petite pub de derrière les fagots qui aura eu le mérite de me faire rire de ce terme :-)

… et pas des moindres ! Je ne vais pas tergiverser très longtemps pour vous dire que les études c’est bel et bien terminé. Fini les cours, fini les TP, fini les projets de nuit et surtout fini la vie étudiante (enfin c’est pas dit !).

Dernière année, dernier diplôme mais premier de classe. Ca doit être à cause des lunettes, peut être le bouc de cette année ou un truc du genre. Quoiqu’il en soit, j’étais bien le premier surpris de voir mon nom en haut de la fiche (merci le jeu de mot à 2 balles).

L’impression que ça m’a fait ? Ca se résume en quelques chiffres : 24 années de vie pour 21 années scolaires mais seulement 1 fois 1er ! Wow… Ca réduit sacrément bien la chose.

Cette dernière année d’étude était le couronnement de toute ma « carrière » dans le secondaire. Du coup, on s’amuse à faire une remise des diplômes… bon ok, pas que pour moi mais j’ai le droit d’être LA seule et unique star du moment. Ca ne changera pas trop de mon quotidien, vous vous en doutez :)

J’avais donc commandé mon petit trophée en échange d’un discours préparé. Au final, j’ai eu mon « geek d’or » pour l’ensemble de mon oeuvre 2005 / 2006 et ma promo s’est tapé un discours fleuve d’au moins 10 minutes de la part d’un type qui avait surement un peu -trop- bu de champagne. Hé ouais, votre star avait décidé de profiter de cette soirée !

Seul regret, c’est peut être le fait de ne pas avoir fait ce fameux discours face à un large public… Etant arrivé 30 minutes après cette formidable remise des diplômes, seul mes compères IPINT ont eu le droit à ma prose. C’est peut être pas plus mal on me dira.

Tient d’ailleurs, parlant de ce bout de papier certifié par l’état… Voici à quoi ressemble ce fameux diplôme ! On remarquera qu’il n’est nul par mention de mon statut de major de promo… Mais merde, qui va me croire dans 10 ans ?!!

4 mois sans donner une seule nouvelle. C’est long et je le sais. C’est le quotidien d’une star surbookée qui n’a de cesse de vouloir mettre en avant sa vie sociale « in real life » avant sa vie virtuelle et ses fans… . Ca c’est de la phrase !

Ca arrive, c’est déjà arrivé et ça arrivera encore. Heureusement qu’il existe des fans n’hésitant pas à m’écrire par mail pour me demander de me remettre à écrire :-)

Pour eux, on va tenter de faire un rapide check up de tout ce qui est arrivé depuis mon voyage à Strasbourg…

Et si on se souhaitait déjà une bonne et heureuse année ? Allé, on va y croire cette année et on espère qu’elle sera aussi joyeuse que l’année précédente ! 2006, c’était quand même l’année de référence : aucun souci, aucun problème, que du bonheur et aucune désillusion ! Des surprises, des voyages et j’en passe. Bon, j’avoue que 2007 avait bien commencé jusqu’à dernièrement mais je n’arriverai pas à apprécier les bons moments si ils n’y en avaient pas de mauvais !

Pour le reste, Janvier a été très calme… Février était un peu plus chaud avec 15 jours de folie furieuse que je pourrai décrire comme ma période ibiza locale : fêtes sur fêtes, peu de sommeil et du plaisir à gogo ! Je n’irai pas plus loin sur ce sujet mais le temps passant, je doute refaire pareil avant 1 an… la vieillesse surement :-)

Ha et puis février … c’est aussi un mois qui a marqué la fin d’une période de célibat assez importante. J’avoue que si j’écris ce post, c’est aussi pour en parler et me défaire de tous les démons que cela représente. C’est difficile au départ de se dire que la liberté n’est plus aussi grande. On essai toujours de se partager entre tout ce qu’on a toujours fait et une autre personne mais au final, j’aime ça ! (le difficile choix entre l’habituelle partie de belotte et la soirée à 2, vous comprenez ?! ;-))

La vie de célibataire, c’est quand même tout un monde : tu fais ce que tu veux, comme tu veux, avec qui tu veux et quand tu veux. Une liberté comme on en a jamais eu mais aussi une certaine solitude quand tu ne sais pas prévoir les choses. C’est d’autant plus dur quand tu corresponds à ça : « T’as pas d’amis ? Tu veux devenir célibataire endurcie ? Bon courage ! Â» Enfin heureusement ce n’est pas mon cas et j’en suis super contant ! Je n’aurai jamais assez de mot pour remercier mes amis !

Vivre seul, pour moi, c’est super mais la vie à deux c’est quand même mieux. La tendresse, la proximité, l’amour et tous les trucs qu’on ne peut vivre qu’à deux, c’est terriblement bien ! On va arrêter le sentimental ici et essayer de tourner la page d’une histoire qui, même si elle est finie, ne s’arrête pas… simplement parce que je ***** encore avec ! Argh ! Encore un truc qui va rendre la chose plus compliquée qu’elle n’est. Baaaaah ca n’aurai pas de valeur à mes yeux si ce n’était qu’une « simple Â» histoire ;-)

Allé, la petite phrase philosophique du moment : « La pulsion d’amour, la pulsion d’union à l’autre et à l’humanité, constitue sans doute l’élan le plus profond de notre être. Nous savons instinctivement que là réside notre bonheur. D’une certaine façon, l’amour est la seule porte qu’aucun être humain ne puisse fermer pour de bon Â».

En gros, attendez un petit moment que ma détresse, aussi intolérable soit elle, passe et je serai ouvert à toutes vos propositions amoureuses ;-) Pas de soucis à vous faire pour vous, mes fans féminins !

Le mois de décembre, c’est un peu LE mois magique de l’année. Les décors, les lumières, la musique… les milles et une nuit sous la neige en quelque sorte !

Histoire de se mettre dans l’ambiance, nous avons choisi d’aller à Strasbourg ! La ville possède le marché de noël (ou Christkindlmärik) le plus célèbre de France et sûrement le mieux organisé.

Pour ce voyage, c’est Gromit (grand grand fan) qui s’est proposé ! Je dirai même plus : c’est lui qui m’a proposé de venir. Comme quoi…

Mission numéro 1 : trouver un hôtel.
La, faut pas se rater ! Pas d’hôtel = pas de voyage, Ã  moins d’avoir le courage de dormir à la belle étoile. Je peux vous dire que nous avons bien galéré pour trouver quelque chose. Sachez que 2 semaines avant le départ, plus aucune place à moins de 100€ n’était disponible dans des hôtels en centre ville ! Du coup, nous avons réservé un petit hôtel tip top à 5 minutes de Strasbourg : piscine, court de tennis pour le dimanche matin et resto / bar pour la soirée !

Mission numéro 2 : arriver à Strasbourg.
Le voyage s’est fait en voiture. La ‘tite Clio de Gromit a assuré tout du long. Le seul souci étant le co-pilotage qui n’était pas toujours des plus sûrs ;-) Bon, faut savoir aussi que mappy n’est pas très « intelligent » et nous fait des coups foireux. Du coup, on a jeté les papiers imprimé pour se la faire à la routard avec notre carte de France !

Strasbourg :
Nous somme donc partis à 4h30 du matin pour une arrivé à Strasbourg pratiquement 5h plus tard. La journée commence plutôt bien : le soleil est de la partie et les températures sont anormalement élevées.

On profite du beau temps pour visiter le centre ville de Strasbourg : marche dans les rues du centre, visite de la fnac (l’état de la fnac est représentatif de la ville généralement) … En passant, on tombe sur une boulangerie qui fait de tout et qui fait aussi les « REUMEULEU » ! Enfin on a fini par dire ce mot là pour désigner le bonhomme de pain qu’on a acheté. Je pense que la fille a du nous dire manala ou un truc du genre mais ca s’est terminé sur reumeuleu ;-) Bref !
A force de marcher des les rues, on constate que pas mal de monde possède son chapeau de nöel ! Merde, yen a de tout type mais pas moyen de trouver celui qu’on veut ! Ce n’est qu’au bout de plusieurs dizaines de minutes de recherche à travers le centre que nous trouvons enfin notre bonheur. Admirez la classe !

Au midi, juste après avoir trouvé les compères Strasbourgeois et Grenoblois (ou assimilés comme), nous nous dirigeons vers le Flam’s. Bon, la réputation qu’il a à Lille tire plutôt vers le bas : plat froid, quantité dérisoire, service lent, boissons infectes… Sachez qu’à Strasbourg, c’est l’inverse (ou presque) ! Les flams sont bonnes, presque chaudes à leur arrivées et ils sont plus rapides qu’à Lille (bon ok, ça c’est pas dur). On en profite pour faire quelques photos ici et là … et puis encore ça et hop, on repart se faire les marchés de noël à travers la ville !

L’après midi passe… le temps s’user les pieds, de se pourrir les jambes en suivant le rythme de la foule qui n’est pas plus rapide qu’un pingouin sur de la moquette. Le soir tombe et on fini par se réfugier chez l’habitant pour se reposer l’espace de 1h30.
La nuit est maintenant établie et en ressortant de notre furieuse partie de poker improvisée (où Loïc, de son vrai nom « mouluman », a tout raflé) on redécouvre Strasbourg ! C’est affolant comme une ville peut paraitre totalement différente de jour comme de nuit : les rues sont toutes éclairées, la cathédrale a changé de couleur, les décorations scintillent, l’arbre de noel géant a maintenant toute sa prestance ! Mes yeux en ont pris plein et ils en sont vraiment contents !
Dans la foulée, on en profite pour gouter le vin chaud et les bretzels !

Fin de la journée, il est temps de se mettre en route pour l’hôtel dans lequel nous allons passer la nuit. J’avoue que j’aurai préféré avoir emmené une femme plutôt que Gromit ;-) L’hôtel se situe en banlieue de Strasbourg… juste à côté d’une concession Porsche ! Haaaa le régale ! On s’est fait plaisir en en faisant le tour en voiture… à mon avis, le garde de nuit a du se poser quelques questions !

Nous déposons donc les valises dans notre chambre et repartons sur Strasbourg pour trouver de quoi passer le reste de la soirée (objectif 2h du mat !). A force de marcher dans les rues, nous finissons par tomber sur un PUB qui, d’extérieur, a l’air plutôt animé. Une fois posé à l’intérieur, la première impression se confirme et notre choix s’avère vite être un très bon choix ! On découvre la kwak à la pression et pas mal de bière belge : de quoi rivaliser quelque peu avec certains cafés Lillois (même si en quantité, ya pas photo, Lille fume tout !).
On sort de ce pub après les 1h du mat’, l’impression d’avoir passé une sacrée journée ainsi qu’une vraiment bonne soirée ! Vivemant demain …. en Allemagne !

Baden Baden :
Dimanche c’est matinée dodo et après midi allemande. Levés à 11h pour libérer la chambre à 12h ! Nous nous dirigeons rapidement vers l’Allemagne en retraversant Strasbourg. La frontière passé et ca y est ! On découvre des autoroutes où rouler à 160 c’est être l’escargot de l’autoroute, où conduire autre chose qu’une BMW, Audi, Mercedes c’est la looze. On a lutté tant qu’on a pu mais c’est difficile d’atteindre les 200 sur du plat avec la Clio :)

De Strasbourg à Baden Baden, il y a 60km… ou 20/30 minutes quand on connait ! On arrive au bord de la ville et on découvre un paysage formé d’usine, de voix de chemin de fer et de bâtiments dortoirs. Ca n’inspire pas et les comparaisons avec Valenciennes vont bon train. Les apparences sont trompeuses : Baden Baden est une ville orientée sur les termes. Vous savez, ces trucs où on dit que l’eau est bonne pour la santé et qu’il est bon pour le corps de venir s’y prélacer l’espace de quelques semaines… Du coup, on se retrouve avec un centre ville plutôt cossu et très orienté touristes. Ca tombe bien, c’est ce que nous sommes !
Petit tour dans les ruelles de la ville qui sont plus proches de celles de Lille que de celles de Valenciennes et nous arrivons au marché de noel ! Encore un ! Je peux vous dire qu’il est plutôt sympa, assez grand tout de même et fortement fréquenté !

C’est d’ailleurs dans ce marché que j’ai LA vision ! LA saucisse allemande ! Vous savez, le truc démesuré qui ne tiendrait même pas dans une baguette pour peu qu’on prenne la taille XXL. Je ne pouvais pas venir en Allemagne sans gouter cette fameuse saucisse allemande… ni une ni deux, on se chope une étale et Gromit nous sort un allemand digne des plus grands linguistes pour dire « 2 saucisses, mayo ketchup, sans oignon » (enfin il a pas dit oignon… elle lui a proposé et il a dit non ;-)). Au final, c’était du bonheur dans une demi baguette de pain !

Après ce frugal repas, on peut passer à la pause café ! On s’arrête à la terrasse d’un café, sous le soleil. Qui aurait pu croire si beau temps sachant que partout ailleurs, la pluie est de rigueur. C’est d’ailleur là que le petit film d’intro a été réalisé… sous la musique d’Edith Piaf !

La pause est terminée et il faut déjà repartir. C’est bête, je m’y plaisais bien dans cette ville… pratiquement 6h de route, il faut se les faire ! D’autant plus qu’à partir du moment où je prends le volant, je me retrouve à conduire sous une pluie battante. Ca donne vraiment envie de rentrer chez soit ce temps…
Histoire de mettre un peu de piquant sur le chemin du retour, on décide de ne pas faire de pause jusqu’au Luxembourg ! Nous avons tout juste de quoi faire la route au niveau essence. Est-ce que nous arrivons à bon port sans devoir marcher jusqu’à une pompe à essence ? Hé bien oui ! On a tenu bon jusqu’au bout, allant jusqu’à rouler à 90 sur autoroute, d’éteindre toute source de consommation dans la voiture (lumière interne, radio, …). Finalement, ca n’aura pas été inutile vu que nous gagnons 20c d’euros sur le litre (0,8€/l) !

Il est 21h, nous arrivons sur Lille et… après un bon kebab, je rentre chez moi et … je dors ! Ha le bonheur ! Ce voyage m’a donné encore plus envie de repartir et d’aller visiter d’autres villes, d’autres pays, d’autres coins du monde ! Ca m’a aussi fait prendre conscience qu’il n’y a pas obligatoirement besoin d’aller à 10h d’avion pour voir des choses vraiment belles… on en a déjà beaucoup à porté de main !

Je vais encore une fois décevoir mes plus grands fans mais ce billet n’est pas sur moi directement. Bon, à la limite, on peut en savoir un peu plus sur ma personne ;-) C’est déjà pas si mal !

Du coup, vous l’avez deviné mais je vais continuer sur la lancé des femmes. Hier je vous présentais une chanteuse ayant réussi l’exploit de faire parti de mon répertoire musical… Aujourd’hui ca sera une actrice ! Cette actrice ce n’est ni plus ni moins que Emmanuelle Béart. On dira ce qu’on veut sur elle, ca ne m’empéchera pas de penser que cette femme possède un charme fou ! Physique attrayant, une voix tout à fait caractéristique, des convictions fortes… Elle dégage quelque chose !

Maintenant le rapport entre le titre et Emmanuelle Béart ? Simplement parce qu’elle est la représentante de cette marque (H&M) dans sa dernière pub pour la collection spéciale de sous-vêtements glamours. On me traitera de pervers si on veut mais cela ne m’empèche pas d’admirer cette plastique qui, même à 40 ans passé, me laisser rêveur. D’ailleurs, je vous laisse vous faire une idée de cette pub dès maintenant.

Pour info, cette pub a fait réagir une parlementaire suédoise qui explique simplement que Emmanuelle Béart, par cette pub, « fait du porno ». On reconnaitra tout de suite la présidente du parti féministe suédois ;-)

Et non, pour une fois je ne vais pas parler de moi. La star, pour une fois, est une jeune demoiselle que j’ai vue et entendue pour la première fois il y a quelques semaines. J’ai donc découvert, il y a peu, une artiste venue du pays des rosbeefs… A écouter sa voix douce et langoureuse, son style orienté soul music et ses paroles mélancoliques, je me suis retrouvé à 2000 pieds au dessus de la Terre.

La plupart des personnes à qui j’ai fait écouté ses morceaux m’ont directement sorti le nom de Norah Jones. A croire que ca y ressemble beaucoup (enfin surtout l’album Come Away With Me, le dernier en date étant plus du country que du jazz vocal). A la vue de la popularité de Norah Jones et de sa fulgurante progression dans les charts de tout bord, on peut penser que cette toute jeune artiste à un avenir prometteur.

Ha ? J’ai oublié de vous donner son nom ? ;-) Corinne Bailey Rae ! Son site officiel ? http://www.corinnebaileyrae.fr et en français pour les anglophobes.

Je crois qu’il ne vous manque plus qu’un petit aperçu avec une chanson qui me tient particulièrement à coeur. Cela aussi bien pour le rythme calme, la douceur de la voix que les paroles. Peut être un présage pour le futur ? J’espère …

La nuit, tous les chats sont gris… Enfin il parait ! Ici l’Opera Night nous fait vivre la nuit de façon un peu plus « rose ». Ce n’est certainement pas pour me déplaire…

Qu’est ce qui peut bien venir à l’esprit quand on voit une image comme ça, le tout sur la couleur synonyme d’amour et de plaisir charnel ?! A voir le flyers, on peut croire que chez eux les soirées ne sont pas faites pour simplement être un espace de rencontre et de dance !

Bon maintenant, j’attends de voir avec impatience cette formidable infirmière qui, je l’espère, propose une plastique (et pas que ça !) Ã  l’image de la sensualité qui se dégage de cette photo ! Merde… mais on en viendrait presque à oublier le premier plan et ce décolté qui n’a de décolté que le nom ! Par contre, petit détail « de style » : les lunettes de soleil. C’est sûr, c’est toujours plus classe de bouger son corps sur une piste, au milieu de la foule et dans la lumières des quelques spotlights avec cet accessoire de vue ;-)

Bref tout ça pour dire que d’ici peu, vous pourrez certainement (re)retrouver votre célibataire de star (moi !) dans cet établissement, bouteille de champagne à la main. J’ai d’ailleurs hate de connaitre les thèmes des soirées du vendredi soir et je vous invite avec plaisir à les découvrir avec moi !

PS : selon toutes vraisemblances, les jeudis soir seront sponsorisés par La Coupole !